Le groupe d’action locale Posázaví agit sur le territoire de 99 communes créant la région de Posázaví. Pour cette région, nous remplissons la fonction d’une organisation de service assurant les actions et la coordination pour le développement de la région de Posázaví. Nous avons la personnalité juridique d’une société d’utilité publique. Mais surtout, nous sommes patriotes, enthousiastes, optimistes et, dans une grande mesure, des « fous » passionnés.
Que l’existence de l’organisation signifie-t-elle pour la région ?
La société d’utilité publique Posázaví o.p.s. (SUP) est née à la base d’une demande des partenaires au sein de la région en tant qu’une plate-forme pour le développement de la région et pour une amélioration de la coopération entre les différents partenaires – entrepreneurs, organisations à buts non lucratifs, communes, unions de communes, villes et administrations. N’importe qui peut devenir partenaire de la SUP, même un citoyen particulier, s’il a l’impression que, par ses actes, il peut ou il veut influencer le développement de la région, apporter dans le développement ses propres idées et sa créativité. La SUP fournit à tous les partenaires un service de conseil lors de l’élaboration de demandes de moyens financiers de la part de différentes fondantions et grants et en même temps la SUP suscite la mise en connexion des projets séparés en des unités de fonction. Lors des réunions communes, c’est surtout cette coordination qui est la plus importante. Donc, en phase finale, notre organisation apportera à la région plus de moyens financiers pour le développement dans de divers domaines – à partir de grands projets d’investissement jusqu’au financement et au soutien de l’action des associations civiles.
Comment est la coopération avec les communes et les villes ?
En ce qui concerne les partenaires au niveau des municipalités locales, on peut diviser la qualité de coopération en quatre domaines – actifs, assistants, dormants et indifférents. Quant aux actifs, ils se sont engagés depuis longtemps, ils apportent leurs revendications dans les projets et pour eux-mêmes et pour la région, ils veulent le maximum – de moyens financiers et d’activités. Quant aux assistants, ils regardent à distance nos activités, ils attendent comment tout cela va se terminer et ils envisagent les possibilités d’une coopération éventuelle. Les dormants, eux, ne se sont en effet pas rendu compte du fait qu’autour d’eux, il y a quelque chose qui apparaît qui pourrait leur apporter des moyens financiers et un développement. Les indifférents représentent pour nous les municipalités locales qui sont au courant de nos activités mais ne ressentent pas le besoin de s’engager, se tiennent à l’écart avec leur « force » et ne sont pas intéressées par les moyens financiers qu’elles pourraient obtenir et enrichir ainsi leur budget et, par la suite, utiliser les moyens financiers épargnés ailleurs – là où on ne peut pas trouver d’autres sources. Peut-être, il y a des communes ou des villes de ce domaine découragées par le fait qu’elles ont part minoritaires dans les procédésde décision en comparaison avec le secteur privé – organisations à buts non lucratifs et entrepreneurs. Peut-être elles craignent une perte d’influence sur le développement de la région. Les actifs, eux, savent déjà que ce n’est que la coopération qui peut leur apporter la qualité et, par la suite, des moyens financiers. Et encore une information importante – dans la région, on a tous la même chance, qu’on ait 100 ou 16 mille habitants.
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